Les Jeudis du Songeur
Aujourd’hui :
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Je songe à la poignante Symphonie n°8 de Schubert, dite « inachevée », dont le titre est inséparable de ces morts injustes qui – près de moi – ont frappé, si tôt, des êtres si chers. L’un de ces deuils a moins d’un mois. (Suite…)
Songe à ne pas oublier précédent (69) :
« L’étrange cas de Pierre Ménard, qui m’a fait récrire le Bonheur Conforme » (28-11-2024)
Un dictionnaire pour les étudiants de tous âges pour
● Définir les termes abstraits que doivent maîtriser les postulants aux examens universitaires ou aux concours des grandes écoles, comme aphorisme, exorciser, macrocosme, paroxysme, transgresser. Sont regroupés environ 2000 mots indispensables.
● Faire comprendre en profondeur un bon nombre de mots-concepts qu’une simple définition ne peut suffire à expliquer. Ils s’agit de termes appartenant aux sciences humaines, à la philosophie ou à la religion, à la critique littéraire ou artistique, comme aliénation, idéologie, dogmatisme, métaphore, métonymie, surmoi, stoïcisme, utopie… À ces mots, plus de 300, nous consacrons un plus large développement, en mettant en valeur les questions ou problématiques qui leur sont liées.
● Faire connaître plus de 200 locutions classiques ou modernes (boîte de Pandore, coup de Jarnac, éminence grise, opium du peuple, devoir d’ingérence, cinquième colonne), qui sont autant de références présentes dans le discours médiatique, et qu’un étudiant.
Les étymologies étant souvent éclairantes, j’ai cru bon d’ajouter à cet ensemble les principales racines gréco-latines, lesquelles permettent à l’étudiant de mieux saisir environ 600 mots du vocabulaire général ou scientifique (par exemple autobiographie, psychosomatique, synchrone ou toponymie).
Ainsi conçu, ce dictionnaire – qui se veut portatif comme le fut celui de Voltaire – devrait faciliter le travail de l’étudiant aussi bien en cours qu’à la maison ou en bibliothèque.
Le Dictionnaire portatif du bachelier a été conçu en 1994 pour les élèves du second cycle. Son titre, selon ma visée première, était : Dictionnaire portatif du futur bachelier. Il l’introduisait à la langue des études supérieures.
D’abord publié chez Marabout, il a été couronné par l’Académie française (Prix Georges Dumézil 1995). Repris par Hatier en 1998, avec sa mise en page initiale, l’ouvrage a bénéficié de rééditions continues jusqu’en 2008. Son contenu s’élargissant, notamment en « mots-concepts », en a fait un petit livre pluridisciplinaire.
Au total, plus de 110 000 exemplaires de cet ouvrage ont été écoulés en 30 ans, jusqu’à ce qu’en avril dernier, Hatier décide sans préavis d’en arrêter la publication.
Cette péripétie m’a ainsi donné l’occasion, en reprenant mes droits, d’opérer une refonte du livre dans un nouveau format, plus maniable. Cette version 2024, revue, corrigée, et en partie reformulée, reste évidemment au service de tout étudiant dont le bac ouvre la voie à de futurs diplômes.
Le livre existe, vous pouvez le rencontrer. Reste à le faire vivre, ce qui demande quelques efforts…
Je ne suis poète ni de profession, ni de prétention.
Simplement, comme tout être humain, j’éprouve, je songe, je chante. Et parfois, l’envie me prend et me surprend de « versifier » mes états d’âme, — de les traduire en textes rythmés que ponctuent quelques rimes ou assonances.
Alors, sentant éclore en moi ces formes verbales qui sont comme des fleurs de la pensée, je les recueille pour me souvenir des émotions dont elles sont nées. Et pour aussi, le cas échéant, les donner en partage aux rêveries d’autrui.
Oser la poésie, retentir-rêver-chanter, c’est oser le lyrisme, que celui-ci se fasse envol d’une prose aux libres modulations, ou s’ordonne en poème plus classique, aux règles préétablies.
À chaque fois, je m’adonne à des poésies « de circonstance », n’ayant ni l’inspiration ni la capacité d’édifier un univers.
Et comme ces moments qui nous marquent s’échelonnent tout au long de la vie, les textes qui en émergent sont les échos du Temps qui passe et qui revient, — fragments parfois lancinants d’une mélodie inachevée…
Un idéal poétique serait de n’écrire que des pièces courtes, à l’image de ces « préludes » musicaux dont quelques mesures suffisent à créer un monde. Sans pêcher par la longueur…
Sans non plus négliger, – car les écrits de circonstance peuvent périr avec l’instant qui les fait naître, – d’en soigner la facture pour les rendre un tant soit peu durables. Il faut bien que les textes survivent à leurs prétextes. Et soient ainsi agréés aussi longtemps que possible par des lecteurs qui aimeraient les entendre, ou les dire. Ou bien encore les respirer.
Recueillir des fleurs n’a de sens que pour en offrir le bouquet.
Il s’agit là d’une brève chronologie des divers ouvrages que l’auteur a écrits au fil des années, sous l’une ou l’autre de ses signatures (B.H. pour les textes didactiques, F.B. pour les essais ou récits). La rubrique Bonnes feuilles, qui a été considérablement enrichie, en reprend les meilleurs extraits.
Qu’est-ce que la publicité, sinon ce discours tapageur qui nous oblige à ne plus voir les réalités de la vie, les valeurs de la vie, les dimensions de l’être, et les êtres eux-mêmes, que comme des marchandises qui se produisent, qui se vendent, s’absorbent, et puis se jettent !
La « crise » qui sévit depuis trente ans n’a rien changé au système qu’analyse ce livre. Jamais la pieuvre publicitaire n’a été aussi forte, jamais la misère sociale n’a été aussi grande…
Réédition d’une analyse classique de l’aliénation publicitaire, d’abord parue chez Gallimard en 1985, et plus que jamais d’actualité.
« C’était un soir de septembre. P.-J. Philippe, éminent critique, ne jurait que par L’Inscription de Benjamin, roman méconnu, oublié sur un rayon. Son engouement me surprit : il m’entraîna dans un Café, pour emporter mon adhésion. À minuit, nous en parlions encore… » Qui est Benjamin ? Un personnage lunaire, un innocent qui prétend s’inscrire… S’inscrire, mais à quoi ? Et qui est donc Pierre-Jean Philippe, personnalité en vue du Tout-Paris, pour plaider le cas d’un « héros » si dissemblable de lui-même ?
Au fil de cette narration dialoguée, qui frise parfois la controverse, le lecteur est invité à partager quelques unes de ces questions essentielles que l’homme moderne, le plus souvent, évite de se poser.
Un long coup de sifflet qui déchire la nuit, et Charles-Étienne Demasy, la quarantaine bien assurée, se réveille dans le dortoir de ses quinze ans. Il croit rêver, mais non ! Il reconnaît, dans l’effroi, ses jeunes camarades qui se lèvent en silence, et ne peut échapper aux rituels immuables de sa pension d’antan : lavabos, messe, réfectoire, récréation, études. Le voici renvoyé à sa vie antérieure… Se méfie-t-on assez de ses nostalgies ?
Un récit troublant où bruissent, au sein d’atmosphères anciennes, les mystérieux échos des temps qui s’enchevêtrent.
Un écrivain, du fond de son lit, rêve d’imprimer ses pensées à distance. Un génial polytechnicien invente l’appareil opérant cette transcription sans effort… Voici le Monde prêt à vivre le bonheur d’une télépathie universelle ! L’Homo sapiens technologicus va-t-il enfin saisir sa chance ?
Cette odyssée satirique a été un feuilleton très suivi de l’été 2014.
Il n’y a pas de jour où je ne demeure songeur devant le mystère du monde, des choses, des êtres. Et je crois n’être pas le seul à éprouver ce syndrome éveillé. Nous sommes faits de l’étoffe de nos rêves, dit Shakespeare.
Car si le songe transporte les rêveurs étoilés, il anime tout autant les hommes et les femmes de labeur.
La Dentellière, avec ses mains, songeait…
Ces vues d’un moment qui passe, j’ai tenté de les fixer en de brefs éditoriaux inactuels, dont l’un s’est imposé à moi comme titre de ce livre.
Peut-être parleront-ils à qui souhaite les partager.
J’écris ce que je songe pour donner à songer.
Je vous annonce, ce 5 septembre 2019, la parution d’un nouveau livre : La Deuxième Mort de Molière, Suite d’Invitations à songer.
Ce florilège de chroniques s’inscrit dans le sillage de La Larme de Rubinstein, dont j’ai repris le classement thématique : j’ai beau « songer » en tout sens, la diversité des vues qui me traversent ne doit pas masquer une certaine cohérence de la vision. À vous d’en juger.
Ce fruit de mon labeur (380 pages revues, corrigées, parfois réécrites) est peut-être mon dernier livre. Je ne sais. J’en avais eu le ferme projet, il y a un an, lorsque l’épisode de mon AVC, ce séisme d’abord moral, m’a fait douter de son utilité en même temps que de ma capacité à le mener à bien. Peu à peu, j’ai repris confiance.
Soutenu par la fidélité de nombre de mes amis et lecteurs, je me suis mis à croire qu’il eût été dommage que ces écrits se perdent dans les trous noirs de « la galaxie Internet »…
Et puis, j’aime l’objet livre : la tendre épaisseur d’une « version papier » (pour tous !), sous sa jolie couverture, me donne l’illusion provisoire d’une œuvre de poids. Vous me direz…
Dans la mesure où c’est l’attente fidèle de lecteurs amis qui m’a rendu l’énergie de fixer dans des mots ces heures méditatives, je pourrais dire ma gratitude en reprenant le modeste message de La Bruyère : « Je rends au public ce qu’il m’a prêté ».
Bien cordialement à vous tous.
Le Songeur
Une chronique dont tous les candidats s’inspirent sans l’avouer :
Gouverner c’est parler !
Un livre citoyen dont la France a besoin pour renverser les puissants :
Un peuple informé en vaut deux !
Un Président visionnaire qui dépasse les vieux clivages :
Au fond, le capitalisme, c’est le socialisme…
Ma droite, c’est ma gauche
Un Président mondialiste à l’écoute des mutations planétaires :
Quand on n’a plus assez de pauvres, il faut en importer !
Un Chef d’État fondamentalement humain au sein d’un monde fondamentalement injuste :
Je veux tout donner à ceux qui n’ont rien
Sans rien prendre à ceux qui ont tout !
Les Arbres songent, comme vous et moi. Ils cherchent d’où ils viennent, se demandent où aller…
Ce petit livre rassemble deux récits jusqu’alors dispersés dans les deux recueils suivants, l’odyssée de "L’Arbre migrateur" et la fable du "Fils de l’Arbre", illustrées par Cécile Léna, dessinatrice et scénographe.
Quiconque s’embarque aveuglément dans son époque se trouve parfois projeté aux antipodes… Un épargnant désireux de palper son fric s’égare dans Paris en distribuant des centaines d’euros. Un téléphile dont l’écran est en panne se projette, sur son poste éteint des spectacles virtuels qui le transportent au septième ciel. Un conducteur ne parvient plus à sortir du périphérique, par peur de déserter l’Humanité en marche… Quant à l’Arbre migrateur…
Autant de folles fictions, tantôt tragiques, tantôt hilarantes, toujours à contretemps. En savoir plus…
N.B. Les éditions Parangon ayant rendu l’âme, nous proposons ici les derniers exemplaires en stock.
La Vie est un rêve à dormir debout. Ainsi se produisent, de temps à autre, d’étranges phénomènes qui dérèglent la comédie médiatique… C’est l’avènement d’un poulain sachant lire, qui fait délirer les experts de tout poil. Ou le sombre projet de technocrates qui envisagent de raser le Mont Blanc pour faciliter le flux tendu entre entreprises. Ou encore l’éclosion, au cœur des Ardennes, d’un vampire de l’intelligence qui crétinise son entourage. Sans parler du Virus littéraire qui fait bâiller et périr les lecteurs cultivés, engendrant une mémorable crise de l’édition…
Ce recueil, préfacé par La Fontaine, s’inscrit dans le sillage de L’Arbre migrateur. En savoir plus…
N.B. Les éditions Parangon ayant rendu l’âme, nous proposons ici les derniers exemplaires en stock de ce recueil.
Devenue ambiante, l’idéologie s’est immiscée partout : dans les sophismes de l’image, le battage événementiel des médias, les rhétoriques du politiquement correct, les clameurs de la marchandise. Vaste grille mentale, faussement consensuelle, elle enferme l’être humain dans les jouissances de la consommation et ses exhibitions mimétiques, au service d’une « croissance » sans fin… qui finit par lui pourrir la vie.
Cet ouvrage a d’abord été publié en 2004, chez Parangon, puis réédité en 2005 (en version augmentée). Le livre étant épuisé (dès 2009), et les éditions Parangon ayant disparu, nous avons jugé bon, après quelques hésitations, de le mettre en ligne tel qu’il est paru il y a dix ans, avec un minimum de corrections et l’ajout de quelques notes.
Il est disponible depuis le 20 novembre 2016. On peut le télécharger gracieusement, une légère contribution aux frais de mise en ligne (2€) étant facultative.
Ce nouveau recueil inédit, qui fait suite à la version originale de 2005, est édité directement en ligne.
J’y regroupe des textes parus de 2005 à 2015, à l’exception d’un ou deux, qui complètent mes analyses du discours médiatico-publicitaire, et ouvrent la dénonciation du système-pub à l’urgence de la Décroissance (économique).
L’idéologie dominante, par sa fâcheuse tendance à se reproduire semblable à elle-même, oblige celui qui la dénonce à réopérer inlassablement les mêmes élucidations. Mais en même temps, c’est l’occasion d’y ajouter bien d’autres exemples révélateurs de ce formatage sans fin qui produit en occident l’homme uni-dimensionnel.
Lorsqu’il s’agit de résister par la plume à l’aliénation quotidienne, tout ce qui valait déjà la peine d’être répété mérite à nouveau d’être réitéré !
Cet ouvrage inédit est disponible depuis le 1er décembre 2016. On peut le télécharger gracieusement, une légère contribution aux frais de mise en ligne (2€) étant facultative.
Quarante deux ans après…
Marc, lycéen et Marc, volontaire, oeuvres de jeunesse de François Brune pour la jeunesse, sont disponibles au téléchargement depuis le 4 décembre 2017.
Disponibles en version pdf, moyennant un simple clic et une obole (5€ pour les 2 Marc).
Le Narrateur de ces histoires s'exprime ainsi : « Tout est possible, dans le Réel ; tout est réel, dans le possible. » Une fiction véridique est le récit d'événements quui ont pu ou pourraient réellement avoir eu lieu.
Le Réel se révèle alors un Délire quotidien, truffé d'événements qui se génèrent dans un monde parallèle, et dont l'irruption imprévue confirme soudain l'énigmatique existence.
Tout est déjà arrivé demain ; rien n'est fictif qui ne soit vrai. Que la folie humaine atteigne aujourd'hui des sommets en devenant rationnelle, par exemple, c'est une évidence pour qui veut bien ouvrir les yeux.
« Pour ma part, me dit un ami, j'apprécie sans réserve ton emploi du « je » pour désigner, non ce que tu as vécu, mais ce que tu aurais pu vivre, comme chacun d'entre nous, à nos risques et périls.
Et d'ailleurs, entre nous, ce « je » que nous prenons pôur notre « moi » n'est-il pas lui-même une fiction véridique, constamment sujette à l'imposture…
Peut-être tes lecteurs en conviendraient-ils ? »
Voici un nouveau livre, qui recueille la plupart de mes chroniques consacrées au catholicisme depuis 6-7 ans.
Je dis à la fois Ce que crois / Ce dont je doute, tantôt en m’amusant de certaines élucubrations théologiques, tantôt plus gravement en m’alarmant de la fascination sacrificielle inhérente à cette religion, que je sens encore trop porteuse de violence doctrinale.
La Mécréance n'est pas l'incroyance. En me disant depuis trente ans "chrétien en rupture de catholicisme", j'ai le sentiment que ce qui a semblé reniement concernant mes "croyances" est issu de fidélités profondes s'agissant de ma "foi".
La foi implique une relation personnelle à ce qu'on peut nommer la Présence (Dieu en soi), alors que les croyances sont des adhésions mentales à des représentations théologiques figées, dites "dogmes", énumérées dans le Credo.
Aussi mon questionnement invite-t-il le lecteur "croyant" à se demander s'il croit ou croit croire.
Je crois, donc je doute. En d'autres termes : suis-je vraiment habité par le Dieu "sensible au cœur" qu'évoque Pascal, ou habitué à un échafaudage de "vérités" dont la cohérence ne tient debout qu'en recourant au mot "mystère"?
À quoi suis-je habitué ? De quoi suis-je habité ?
Ce livre est né de ces questions qui n'ont pas fait de ma vie "spirituelle" un long fleuve tranquille, et que j'invite ceux qui le désirent à partager.
Les éditions de Beaugies ont eu pour objectif premier de sauvegarder mes divers ouvrages, en les maintenant à la disposition des lecteurs éventuels, compte tenu de la défaillance regrettable de mes éditeurs historiques. Cet objectif est atteint.
Cela ne nous empêche pas, parfois, de songer à rendre un service similaire, dans les limites de notre petite structure, à des amis de l’AFBH ayant écrit des textes intéressants, par leur qualité humaine ou spirituelle.
Ainsi sont déjà disponibles sur ce site les six ouvrages suivants :
Le Dr Jean-François Hongre récidive avec un roman, où les expériences du pédiatre se mêlent à une intrigue romanesque prenante.
Une chronique du Dr Jean-François Hongre, qui retrace son itinéraire de médecin des enfants.
Dans la lignée de l'opuscule du Père de Malmann (À l’Écoute de St Jean), un étudiant de la Communauté HEC, Roger Peter, devenu prêtre, publie aux éditions de Beaugies son autobiographie : Histoire d'un Appel, étapes de la vie d'un prêtre. C'est le récit d'un homme d'action et de prière, qui aide à comprendre de l'intérieur les difficulté actuelles de l’Église.
Disponible chez l'auteur :
Maison Marie Thérèse,
A l'attention de Roger Peter
277 Bd Raspail
75014 Paris
Véritable complément des Routes blanches (voir la notice ci-après) Luc Duret poursuit ici l'évocation de sa jeunesse, en milieu scolaire cette fois. Mais si l'évocation de souvenirs personnels permet, non sans une once de nostalgie, d'y ressaisir l'incessante œuvre du temps, il y observe aussi d'un œil amusé cette autre époque, pour mieux en juger.
Ces Trois Frères témoignent par ailleurs des transformations de tous ordres, humaines et urbaines, qui ont métamorphosé le village d'une petite ville de la région parisienne, Montrouge, berceau de leur vie d'écolier.
Les souvenirs d'enfance de Luc Duret, un ami de longue date.
Une puissante reconstitution d'une époque que j'ai partagée, au fil d'une écriture précise, poétique, qui fait penser à la "Recherche du Temps perdu" de Marcel Proust.
Un opuscule essentiel de Jean de Mallmann, ancien aumônier d'HEC où je fus moi-même étudiant (1960-64).
Cette profonde méditation sur l'évangile de Jean fonde ce que peut être une véritable vie communautaire au sein d'un "groupe Catho", et a marqué des générations de croyants dont je fus moi-même, orientant toute leur existence à venir.
Lecteurs en manque de culture, liberté vous est offerte de vous mesurer aux 8 tests-cultes que nous vous proposons, où vous reconnaîtrez un certain nombre
d’expressions ou citations dont un citoyen « normal » a droit de se souvenir… Liste que chacun pourra compléter avec l’ouvrage Révisez
vos Références culturelles et politiques !, déjà plébiscité par plus de 7000 lecteurs (Ellipses, 384 pages, 19€).